Seite 20: Des Moorkönigs Tochter (La hija del rey del pantano)



Und sie bauten Nester und gerieten sich dabei aufs neue in die Haare, denn in den heißen Ländern ist man gar hitzig, aber vergnügt ging es doch zu, besonders den Alten machte es Spaß. Die eigenen Kinder kleidet eben alles.
Jeden Tag schien hier die Sonne, jeden Tag gab es vollauf zu essen, man konnte nur an Lust und Freude denken. –
Aber in dem reichen Schloß des ägyptischen Hauswirts, wie sie ihn nannten, hatte die Freude keine Stätte. Der reiche, mächtige Herr lag auf dem Ruhebett, steif in allen Gliedern und ausgestreckt wie eine Mumie, mitten in dem große Saal mit den prächtig bemalten, farbigen Wänden.
Verwandte und Diener standen um ihn her, tot war er nicht; daß er lebte, konnte man auch füglich nicht sagen. Die rettende Moorblume aus den nördlichen Ländern, die gesucht und gepflückt werden mußte von der, die ihn am herzlichsten liebte, ward ihm nicht gebracht. Seine junge schöne Tochter, die im Schwanenkleide über Meer und Land weit zu hohem Norden hinauf geflogen war, sollte niemals mehr zurückkehren.

Ils construisirent des nids et se prirent de nouveau la tête, car dans les pays chauds, on est très enflammé, mais ils s'amusaient, surtout les vieux. Les enfants s'habillent de tout.
Tous les jours, le soleil brillait, tous les jours il y avait de quoi manger, on ne pouvait penser qu'au plaisir et à la joie. -
Mais dans le riche château du maître de maison égyptien, comme ils l'appelaient, la joie n'avait pas sa place. Le riche et puissant maître était allongé sur un lit de repos, raide de tous ses membres et étendu comme une momie, au milieu de la grande salle aux murs magnifiquement peints et colorés.
Les parents et les serviteurs l'entouraient, il n'était pas mort ; on ne pouvait pas dire non plus qu'il était vivant. La fleur de marais salvatrice des pays du Nord, qui devait être cherchée et cueillie par celle qui l'aimait le plus chaleureusement, ne lui fut pas apportée. Sa jeune et belle fille, vêtue d'un cygne, s'était envolée par-delà les mers et les terres jusqu'à l'extrême nord, et ne devait plus jamais revenir.

Vokabular
sich in die Haare geraten = tener una bronca
hitzig sein = ser vivo de genio





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