IV.2 Vorspiel auf dem Theater (Prologue sur le théâtre ) |
Dans le prélude au théâtre, nous avons trois personnes aux intérêts très différents : Le directeur de théâtre, le poète et le personnage comique. La discussion de ces trois-là est toujours valable aujourd'hui. D'un côté, nous avons le directeur de théâtre, c'est-à-dire un représentant d'Hollywood, qui veut et doit avant tout gagner de l'argent. D'autre part, nous avons le poète qui refuse de créer des pièces pour la consommation de masse et le personnage comique. Personne ne nie que le poète a fondamentalement raison, que tous ces films comme Titanic, la guerre de Troie, Rambo, Matrix, etc. etc. etc. sont fondamentalement toujours la même chose, beaucoup de bons et de méchants qui se battent dans des batailles éternelles, mais son attitude rigide qui refuse tout compromis est un peu stérile. Le personnage comique voit les choses avec plus d'humour : les gens veulent s'amuser, que ce soit de manière idiote ou non, et si vous parvenez à leur inculquer quelque chose de nouveau, tant mieux.
IV.2 Vorspiel auf dem Theater (Prologue sur le théâtre) |
Vorspiel auf dem Theater |
Prologue sur le théâtre |
DIREKTOR: | LE DIRECTEUR: |
Ihr beiden, die ihr mir so oft, In Not und Trübsal, beigestanden, Sagt, was ihr wohl in deutschen Landen Von unsrer Unternehmung hofft? Ich wünschte sehr der Menge zu behagen, Besonders weil sie lebt und leben läßt. Die Pfosten sind, die Bretter aufgeschlagen, Und jedermann erwartet sich ein Fest. Sie sitzen schon mit hohen Augenbrauen Gelassen da und möchten gern erstaunen. Ich weiß, wie man den Geist des Volks versöhnt; Doch so verlegen bin ich nie gewesen: Zwar sind sie an das Beste nicht gewöhnt, Allein sie haben schrecklich viel gelesen. Wie machen wir's, daß alles frisch und neu Und mit Bedeutung auch gefällig sei? Denn freilich mag ich gern die Menge sehen, Wenn sich der Strom nach unsrer Bude drängt, Und mit gewaltig wiederholten Wehen Sich durch die enge Gnadenpforte zwängt; Bei hellem Tage, schon vor vieren, Mit Stößen sich bis an die Kasse ficht Und, wie in Hungersnot um Brot an Bäckertüren, Um ein Billet sich fast die Hälse bricht. Dies Wunder wirkt auf so verschiedne Leute Der Dichter nur; mein Freund, o tu es heute! |
Vous deux, qui m’avez |
DICHTER: | LE POÈTE |
O sprich mir nicht von jener
bunten Menge, Bei deren Anblick uns der Geist entflieht. Verhülle mir das wogende Gedränge, Das wider Willen uns zum Strudel zieht. Nein, führe mich zur stillen Himmelsenge, Wo nur dem Dichter reine Freude blüht; Wo Lieb und Freundschaft unsres Herzens Segen Mit Götterhand erschaffen und erpflegen. Ach! was in tiefer Brust uns da entsprungen, Was sich die Lippe schüchtern vorgelallt, Mißraten jetzt und jetzt vielleicht gelungen, Verschlingt des wilden Augenblicks Gewalt. Oft, wenn es erst durch Jahre durchgedrungen, Erscheint es in vollendeter Gestalt. Was glänzt, ist für den Augenblick geboren, Das Echte bleibt der Nachwelt unverloren. |
Oh ! ne me parle pas de cette foule diaprée dont l’aspect seul effarouche l’inspiration ; cache-moi la multitude turbulente qui nous pousse à l’abîme malgré nous. Non, conduis-moi dans ce coin retiré du ciel où fleurit une joie pure pour le seul poète ; où l’amour et l’amitié, bénédiction de notre cœur, créent, exécutent avec la main des dieux. Hélas ! ce qui jaillit alors du fond de notre âme, ce que bégayent nos lèvres tremblantes, tantôt bien, tantôt mal venu, disparaît, englouti dans le transport impétueux du moment. Souvent aussi, après avoir traversé des siècles, il se relève dans la plénitude de sa forme. Ce qui brille est né pour le moment ; le vrai beau n’est jamais perdu pour la postérité. |
LUSTIGE PERSON: | LE PERSONNAGE BOUFFON: |
Wenn ich nur nichts von Nachwelt
hören sollte. Gesetzt, daß ich von Nachwelt reden wollte, Wer machte denn der Mitwelt Spaß? Den will sie doch und soll ihn haben. Die Gegenwart von einem braven Knaben Ist, dächt ich, immer auch schon was. Wer sich behaglich mitzuteilen weiß, Den wird des Volkes Laune nicht erbittern; Er wünscht sich einen großen Kreis, Um ihn gewisser zu erschüttern. Drum seid nur brav und zeigt euch musterhaft, Laßt Phantasie, mit allen ihren Chören, Vernunft, Verstand, Empfindung, Leidenschaft, Doch, merkt euch wohl! nicht ohne Narrheit hören. |
Si on voulait ne pas toujours parler de la postérité ! Supposez que moi je voulusse parler de la postérité, qui se chargerait de divertir mes contemporains ? Ils veulent cependant s’amuser, eux ; il faut qu’ils s’amusent. La présence d’un brave garçon est, à mon sens, toujours bien quelque chose. Qui sait communiquer dignement ses pensées, n’a rien à redouter des caprices du peuple ; plus l’assemblée est nombreuse, plus il est certain de l’émouvoir. Ainsi donc, bon courage ! et montrez-vous en maître. Que l’imagination se produise avec tout son cortège de raison, d’esprit, de sentiment, de passion ; mais n’ayez garde d’oublier la folie. |
DIREKTOR: | LE DIRECTEUR: |
Besonders aber laßt genug geschehn! Man kommt zu schaun, man will am liebsten sehn. Wird vieles vor den Augen abgesponnen, So daß die Menge staunend gaffen kann, Da habt Ihr in der Breite gleich gewonnen, Ihr seid ein vielgeliebter Mann. Die Masse könnt Ihr nur durch Masse zwingen, Ein jeder sucht sich endlich selbst was aus. Wer vieles bringt, wird manchem etwas bringen; Und jeder geht zufrieden aus dem Haus. Gebt Ihr ein Stück, so gebt es gleich in Stücken! Solch ein Ragout, es muß Euch glücken; Leicht ist es vorgelegt, so leicht als ausgedacht. Was hilft's, wenn Ihr ein Ganzes dargebracht? Das Publikum wird es Euch doch zerpflücken. |
Mais surtout que la part de l’action soit large ! On vient pourvoir, on veut voir à toute force. Si le tissu se complique de tant de choses que la foule en reste les yeux béants d’admiration, vous avez gagné votre cause, vous êtes un homme adorable. C’est par la masse seulement que vous agirez sur la masse. Chacun, après tout, cherche quelque chose qui lui convienne. Qui apporte beaucoup en apporte pour tout le monde, et chacun s’en va du spectacle satisfait. Donnez-vous une pièce, donnez-la en pièces ; un tel ragoût vous réussira ; qu’il puisse être facilement servi, aussi facilement qu’imaginé. Que sert-il de produire un tout harmonieux ? le public aura bientôt fait de vous le tailler en pièces. |
DICHTER: | LE POÈTE |
Ihr fühlet nicht, wie schlecht
ein solches Handwerk sei! Wie wenig das dem echten Künstler zieme! Der saubern Herren Pfuscherei Ist merk ich schon bei Euch Maxime. |
Mais vous ne sentez donc pas combien un pareil métier est pitoyable, combien il répugne au vrai poète ? Le barbouillage de ces messieurs est déjà en honneur chez vous, à ce que je vois. |
DIREKTOR: | LE DIRECTEUR: |
Ein solcher Vorwurf läßt mich
ungekränkt: Ein Mann, der recht zu wirken denkt, Muß auf das beste Werkzeug halten. Bedenkt, Ihr habet weiches Holz zu spalten, Und seht nur hin, für wen Ihr schreibt! Wenn diesen Langeweile treibt, Kommt jener satt vom übertischten Mahle, Und, was das Allerschlimmste bleibt, Gar mancher kommt vom Lesen der Journale. Man eilt zerstreut zu uns, wie zu den Maskenfesten, Und Neugier nur beflügelt jeden Schritt; Die Damen geben sich und ihren Putz zum besten Und spielen ohne Gage mit. Was träumet Ihr auf Eurer Dichterhöhe? Was macht ein volles Haus Euch froh? Beseht die Gönner in der Nähe! Halb sind sie kalt, halb sind sie roh. Der, nach dem Schauspiel, hofft ein Kartenspiel, Der eine wilde Nacht an einer Dirne Busen. Was plagt ihr armen Toren viel, Zu solchem Zweck, die holden Musen? Ich sag Euch, gebt nur mehr und immer, immer mehr, So könnt Ihr Euch vom Ziele nie verirren Sucht nur die Menschen zu verwirren, Sie zu befriedigen, ist schwer Was fällt Euch an? Entzückung oder Schmerzen? |
Le reproche ne m’atteint pas. Un homme qui songe à bien travailler doit s’en tenir au meilleur outil. Figurez-vous que vous avez à fendre du bois mou, et voyez pour qui vous écrivez. Si le désœuvrement nous amène celui-ci, celuilà sort de table tout gorgé d’un repas copieux ; et, ce qu’il y a de pis, plus d’un vient de lire les gazelles. On arrive tout distrait chez nous comme on court à la mascarade, et la curiosité seule met des ailes aux pieds de chacun ; les dames et leur toilette se donnent en spectacle, et jouent gratis. Que rêvezvous là-haut, sur ces cimes poétiques ? La belle gloire, en vérité, qu’une salle pleine ! Regardez de près vos protecteurs : une moitié d’entre eux est froide, l’autre grossière. L’un, après le spectacle, se promet une partie de cartes ; l’autre, une folle nuit dans les bras de sa maîtresse. Qu’avez-vous, pauvres insensés, à fatiguer, pour de pareilles fins, les douces Muses ? Je vous le dis, donnez davantage, et toujours, toujours davantage ; ainsi, vous ne risquez pas de manquer votre but. Cherchez à intriguer les hommes ; les contenter est difficile. Mais qu’est-ce qui vous prend ? ravissement ? douleur ? |
DICHTER: | LE POÈTE |
Geh hin und such dir einen andern
Knecht! Der Dichter sollte wohl das höchste Recht, Das Menschenrecht, das ihm Natur vergönnt, Um deinetwillen freventlich verscherzen! Wodurch bewegt er alle Herzen? Wodurch besiegt er jedes Element? Ist es der Einklang nicht, der aus dem Busen dringt, Und in sein Herz die Welt zurücke schlingt? Wenn die Natur des Fadens ew'ge Länge, Gleichgültig drehend, auf die Spindel zwingt, Wenn aller Wesen unharmon'sche Menge Verdrießlich durcheinander klingt- Wer teilt die fließend immer gleiche Reihe Belebend ab, daß sie sich rhythmisch regt? Wer ruft das Einzelne zur allgemeinen Weihe, Wo es in herrlichen Akkorden schlägt? Wer läßt den Sturm zu Leidenschaften wüten? Das Abendrot im ernsten Sinne glühn? Wer schüttet alle schönen Frühlingsblüten Auf der Geliebten Pfade hin? Wer flicht die unbedeutend grünen Blätter Zum Ehrenkranz Verdiensten jeder Art? Wer sichert den Olymp? vereinet Götter? Des Menschen Kraft, im Dichter offenbart. |
Va-t’en, et te procure un autre esclave ! |
LUSTIGE PERSON: | LE PERSONNAGE BOUFFON |
So braucht sie denn, die schönen
Kräfte Und treibt die dichtrischen Geschäfte Wie man ein Liebesabenteuer treibt. Zufällig naht man sich, man fühlt, man bleibt Und nach und nach wird man verflochten; Es wächst das Glück, dann wird es angefochten Man ist entzückt, nun kommt der Schmerz heran, Und eh man sich's versieht, ist's eben ein Roman. Laßt uns auch so ein Schauspiel geben! Greift nur hinein ins volle Menschenleben! Ein jeder lebt's, nicht vielen ist's bekannt, Und wo ihr's packt, da ist's interessant. In bunten Bildern wenig Klarheit, Viel Irrtum und ein Fünkchen Wahrheit, So wird der beste Trank gebraut, Der alle Welt erquickt und auferbaut. Dann sammelt sich der Jugend schönste Blüte Vor eurem Spiel und lauscht der Offenbarung, Dann sauget jedes zärtliche Gemüte Aus eurem Werk sich melanchol'sche Nahrung, Dann wird bald dies, bald jenes aufgeregt Ein jeder sieht, was er im Herzen trägt. Noch sind sie gleich bereit, zu weinen und zu lachen, Sie ehren noch den Schwung, erfreuen sich am Schein; Wer fertig ist, dem ist nichts recht zu machen; Ein Werdender wird immer dankbar sein. |
Eh bien ! servez-vous donc de ces belles facultés, et poursuivez les travaux poétiques comme on poursuit une aventure d’amour. On s’approche par hasard, on s’enflamme, on reste, et peu à peu on se trouve pris ; le bonheur croit, l’attaque commence enfin ; on est ravi ; puis arrive le chagrin, et, sans qu’on s’en doute, voilà tout un roman. Donnez-nous une comédie de ce genre ; taillez en plein drap dans la vie humaine ; chacun la mène, peu de gens la connaissent, et là où vous toucherez juste, l’intérêt ne fera pas défaut. Dans un grand luxe d’images variées, peu de clarté, beaucoup d’erreurs et une imperceptible étincelle de vérité ; c’est ainsi qu’on bâtit le plus excellent ouvrage qui ait jamais rafraîchi, édifié tout un monde. Alors la plus belle fleur de la jeunesse se rassemble autour de votre pièce, attentive à chaque révélation ; alors chaque sentiment délicat puise dans votre œuvre un mélancolique aliment ; c’est tantôt ceci, tantôt cela qu’on remue, et chacun voit représenté ce qu’il porte dans son cœur. Vous en voyez disposés au rire comme aux larmes ; ils honorent les efforts du poète, applaudissent à l’illusion. Pour l’homme déjà fait, rien n’est bon ; mais on peut compter sur la reconnaissance du néophyte. |
DICHTER: | LE POÈTE |
So gib mir auch die Zeiten wieder, Da ich noch selbst im Werden war, Da sich ein Quell gedrängter Lieder Ununterbrochen neu gebar, Da Nebel mir die Welt verhüllten, Die Knospe Wunder noch versprach, Da ich die tausend Blumen brach, Die alle Täler reichlich füllten. Ich hatte nichts und doch genug: Den Drang nach Wahrheit und die Lust am Trug. Gib ungebändigt jene Triebe, Das tiefe, schmerzenvolle Glück, Des Hasses Kraft, die Macht der Liebe, Gib meine Jugend mir zurück! |
Rends-les-moi donc ces temps où, moi aussi, je vivais dans l’avenir, lorsqu’une source de chants comprimés jaillissait sans tarir, lorsque des nuages me voilaient le monde, que les boutons me promettaient encore des merveilles, lorsque je cueillais les mille fleurs qui remplissaient tous les riches vallons. Je n’avais rien, et cependant j’avais assez, l’élan vers la vérité ! la soif des illusions ! Rends-moi ces penchants indomptés, le bonheur profond et déchirant, la force dans la haine, la puissance dans l’amour. Oh ! rends-moi ma jeunesse ! |
LUSTIGE PERSON: | LE PERSONNAGE BOUFFON |
Der Jugend, guter Freund, bedarfst
du allenfalls, Wenn dich in Schlachten Feinde drängen, Wenn mit Gewalt an deinen Hals Sich allerliebste Mädchen hängen, Wenn fern des schnellen Laufes Kranz Vom schwer erreichten Ziele winket, Wenn nach dem heft'gen Wirbeltanz Die Nächte schmausend man vertrinket. Doch ins bekannte Saitenspiel Mit Mut und Anmut einzugreifen, Nach einem selbstgesteckten Ziel Mit holdem Irren hinzuschweifen, Das, alte Herrn, ist eure Pflicht, Und wir verehren euch darum nicht minder. Das Alter macht nicht kindisch, wie man spricht, Es findet uns nur noch als wahre Kinder. |
La jeunesse, mon bon ami ! tu pourrais l’invoquer |
DIREKTOR: | LE DIRECTEUR: |
Der Worte sind genug gewechselt, Laßt mich auch endlich Taten sehn! Indes ihr Komplimente drechselt, Kann etwas Nützliches geschehn. Was hilft es, viel von Stimmung reden? Dem Zaudernden erscheint sie nie. Gebt ihr euch einmal für Poeten, So kommandiert die Poesie. Euch ist bekannt, was wir bedürfen, Wir wollen stark Getränke schlürfen; Nun braut mir unverzüglich dran! Was heute nicht geschieht, ist morgen nicht getan, Und keinen Tag soll man verpassen, Das Mögliche soll der Entschluß Beherzt sogleich beim Schopfe fassen, Er will es dann nicht fahren lassen Und wirket weiter, weil er muß. Ihr wißt, auf unsern deutschen Bühnen Probiert ein jeder, was er mag; Drum schonet mir an diesem Tag Prospekte nicht und nicht Maschinen. Gebraucht das groß, und kleine Himmelslicht, Die Sterne dürfet ihr verschwenden; An Wasser, Feuer, Felsenwänden, An Tier und Vögeln fehlt es nicht. So schreitet in dem engen Bretterhaus Den ganzen Kreis der Schöpfung aus, Und wandelt mit bedächt'ger Schnelle Vom Himmel durch die Welt zur Hölle. |
Assez de paroles, montrez-moi enfin des actions ; tandis que vous rivalisez là de compliments, on pourrait aviser à quelque chose d’utile. À quoi bon tant parler de la disposition où l’on doit être ? Croyez-vous que l’incertitude l’évoque jamais ? Vous vous donnez pour des poètes ; alors commandez à la poésie. Vous savez ce qu’il nous faut ; nous voulons des liqueurs fortes, donnez-m’en quelqu’une sur-le-champ. Ce qu’on ne fait pas aujourd’hui ne sera pas fait demain. Gardons-nous de perdre un jour dans l’hésitation. Que la résolution saisisse vaillamment aux cheveux le possible, et ne le lâche pas ; qu’elle agisse donc, puisqu’il le faut. Vous le savez, sur nos scènes allemandes, chacun essaie ce qu’il peut ; aussi ne m’épargnez aujourd’hui ni les décorations ni les machines. Mettez en œuvra la grande et la petite lumière des cieux ; vous pouvez semer les étoiles à pleines mains. D’eau, de feu, de rochers escarpés, d’animaux et d’oiseaux, nous n’en manquons pas. Ainsi, enjambez dans cet étroit édifice de planches, enjambez le cercle entier de la création ; et, dans votre essor rapide et calculé, allez du ciel, par le monde, à l’enfer. |
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