Erst am
nächsten Morgen kamen die Knaben, und
als sie den Vogel tot sahen, weinten sie.
Sie weinten viele Tränen und gruben
ihm ein niedliches Grab, das mit Blumenblättern
geschmückt wurde. Des Vogels Leiche
kam in eine schöne, rote Schachtel;
königlich sollte er begraben werden,
der arme Vogel! Als er lebte und sang, vergaßen
sie ihn, ließen ihn im Bauer sitzen
und Durst leiden, nun bekam er Pracht und
viele Tränen. Aber der Rasenfleck mit
dem Gänseblümchen wurde auf die
Landstraße in den Staub geworfen.
Niemand dachte an sie, die doch am meisten
für den kleinen Vogel gefühlt
hatte und ihn so gerne getröstet hätte!
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Ce n'est que le lendemain matin que les garçons arrivèrent et quand ils virent l'oiseau mort, ils pleurèrent. Ils pleurèrent beaucoup et lui creusèrent une jolie tombe, décorée de pétales de fleurs. Le corps de l'oiseau fut placé dans une belle boîte rouge ; il devait être enterré royalement, le pauvre oiseau ! Quand il vivait et chantait, on l'oubliait, on le laissait s'asseoir dans le paysan et souffrir de la soif, maintenant il avait droit à la splendeur et à beaucoup de larmes. Mais la tache de gazon avec la pâquerette fut jetée dans la poussière sur la route de campagne. Personne ne pensa à elle, qui avait pourtant ressenti le plus de sympathie pour le petit oiseau et qui aurait tant aimé le consoler ! |