Das prachtvolle
Haus des reichen Peters stand nicht mehr;
der Blitz hatte es angezündet und mit
all seinen Schätzen niedergebrannt;
aber nach der väterlichen Hütte
war es nicht weit; dorthin ging jetzt ihr
Weg, und der große Verlust bekümmerte
sie nicht.
Aber wie staunten sie, als sie an die Hütte
kamen! Sie war zu einem schönen Bauernhaus
geworden, und alles darin war einfach, aber
gut und reinlich.
»Das hat das gute Glasmännlein
getan!«, rief Peter.
»Wie schön!«, sagte Frau
Lisbeth. »Und hier ist mir viel heimischer
als in dem großen Haus mit dem vielen
Gesinde.«
|
La magnifique maison du riche Pierre n'était plus debout ; la foudre l'avait incendiée et brûlée avec tous ses trésors ; mais la cabane de leur père n'était pas loin ; c'est là que se dirigeait leur chemin, et la grande perte ne les inquiétait pas.
Mais quel ne fut pas leur étonnement lorsqu'ils arrivèrent à la cabane ! Elle était devenue une belle ferme, et tout y était simple, mais bon et propre.
"Voilà ce qu'a fait le bon petit homme de verre !" s'écria Pierre.
"Comme c'est beau !", dit Madame Lisbeth. "Et ici, je suis bien plus chez moi que dans la grande maison avec tous les domestiques". |