'Ja, das
fühlt man!', sagte der Wassereimer
und machte vor Freude einen kleinen Sprung,
so daß es auf dem Fußboden klatschte.
Der Topf fuhr zu erzählen fort, und
das Ende war ebensogut wie der Anfang. Alle
Teller klapperten vor Freude, und der Haarbesen
zog grüne Petersilie aus dem Sandloche
und bekränzte den Topf, denn er wußte,
daß es die andern ärgern werde.
'Bekränze ich ihn heute', dachte er,
'so bekränzt er mich morgen.' 'Nun
will ich tanzen!', sagte die Feuerzange
und tanzte. Ja, Gott bewahre uns, wie konnte
sie das eine Bein in die Höhe strecken!
Der alte Stuhlbezug dort im Winkel platzte,
als er es sah. 'Werde ich nun auch bekränzt?'
fragte die Feuerzange, und das wurde sie.
'Das ist das gemeine Volk!' dachten die
Streichhölzer. Nun sollte die Teemaschine
singen, aber sie sagte, sie sei erkältet,
sie könne nicht, wenn sie nicht koche;
doch das war bloß Vornehmtuerei; sie
wollte nicht singen, wenn sie nicht drinnen
bei der Herrschaft auf dem Tische stand.
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Oui, on le sent", dit le seau d'eau en faisant un petit saut de joie qui claqua sur le sol. Le pot continua son histoire, et la fin était aussi bonne que le début. Toutes les assiettes s'entrechoquèrent de joie, et le balai tira du persil vert du trou de sable et couronna la marmite, car il savait que cela fâcherait les autres. Si je le couronne aujourd'hui, pensa-t-il, il me couronnera demain. Maintenant, je vais danser", dit la pince à feu en dansant. Oui, Dieu nous en préserve, comment a-t-elle pu lever une jambe en l'air ? La vieille housse de chaise, là dans l'angle, éclata quand il la vit. Serai-je aussi couronnée ? demanda la pince à feu, et elle le fut. C'est le commun des mortels, pensèrent les allumettes. La machine à thé devait maintenant chanter, mais elle dit qu'elle était enrhumée, qu'elle ne pouvait pas si elle ne faisait pas la cuisine ; mais ce n'était que de la prétention ; elle ne voulait pas chanter si elle n'était pas à l'intérieur, sur la table, avec les maîtres. |