Seite 12: Der fliegende Koffer (Le cofre volant)



Sobald der Kaufmannssohn wieder mit seinem Koffer herunter in den Wald kam, dachte er:'Ich will doch in die Stadt hineingehen, um zu erfahren, wie es sich ausgenommen hat'; es war ganz natürlich, daß er Lust dazu hatte. Was doch die Leute erzählten! Ein jeder, den er danach fragte, hatte es auf seine Weise gesehen, aber schön hatten es alle gefunden. »Ich sah den Türkengott selbst«, sagte der eine, »er hatte Augen wie glänzende Sterne und einen Bart wie schäumendes Wasser!« »Er flog in einem Feuermantel«, sagte ein anderer. »Die lieblichsten Engelskinder blickten aus den Falten hervor!«

Dès que le fils du marchand redescendit dans la forêt avec sa valise, il se dit : "Je veux bien entrer dans la ville pour savoir comment les choses se sont passées" ; c'était tout naturel qu'il en ait envie. Qu'est-ce que les gens racontaient ! Tous ceux qu'il interrogeait l'avaient vu à leur manière, mais tous l'avaient trouvé beau. "J'ai vu le dieu turc lui-même," dit l'un d'eux, "il avait des yeux comme des étoiles brillantes et une barbe comme de l'eau écumante !" "Il volait dans un manteau de feu", disait un autre. "Les plus charmants enfants des anges regardaient à travers les plis" !

Vokabular
sobald = en cuanto
die Lust = el placer
Lust haben = tener ganas
der Bart = la barba
der Feuermantel = el manto de fuego
die Falte = el pliegue





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