"Hei!",
schrie Tölpel-Hans, "hier bin
ich! Seht mal, was ich auf der Landstraße
fand!" - Und er zeigte ihnen eine tote
Krähe, die er aufgehoben hatte. "Tölpel!",
lenguas die Brüder, "was willst
du mit der machen?" "Mit der Krähe?
- Die will ich der Königstochter schenken!"
"Ja, das tu nur!", lachten sie.
"Hei - hopp! Hier bin ich! Seht, was
ich jetzt habe, das findet man nicht alle
Tage auf der Landstraße!" Und
die Brüder kehrten um, damit sie sähen,
was er wohl noch haben könnte. "Tölpel!",
sagten sie, "das ist ja ein alter Holzschuh,
dem noch dazu das Oberteil fehlt; wirst
du auch den der Königstochter schenken?"
"Wohl werde ich das!", erwiderte
Tölpel-Hans; und die Brüder lachten
und ritten davon; sie gewannen einen großen
Vorsprung.
"Hei hoppsassa! Hier bin ich!",
rief Tölpel-Hans, "nein, es wird
immer besser! Heißa! Nein! Es ist
ganz famos!" "Was hast du denn
jetzt?", fragten die Brüder.
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"Hé !", cria Hans le Balourd, "me voilà ! Regardez ce que j'ai trouvé sur la route de campagne !" - Et il leur montra un corbeau mort qu'il avait ramassé. "Balourd !", lengua les frères, "qu'est-ce que tu vas faire avec ça ?" "Avec le corbeau ? - Je veux l'offrir à la fille du roi !" "Oui, vas-y !", rirent-ils.
"Hé, hop ! Me voilà ! Regardez ce que j'ai maintenant, on ne le trouve pas tous les jours sur la route de campagne !" Et les frères firent demi-tour pour voir ce qu'il pouvait bien avoir d'autre. "C'est un vieux sabot," dirent-ils, "et en plus il lui manque le dessus ; est-ce que tu vas le donner à la fille du roi ? "Bien sûr que oui," répondit Hans le Balourd ; et les frères rirent et partirent à cheval ; ils avaient pris une grande avance.
"Hei hoppsassa ! Me voilà !" s'écria Hans le Balourd, "non, ça va de mieux en mieux ! C'est chaud ! Non ! C'est tout à fait famélique !" "Qu'est-ce que tu as maintenant ?" demandèrent les frères.
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