Seite 3: Jorinde und Joringel (Yorinda y Yoringuel )



Jorinde weinte zuweilen, setzte sich hin im Sonnenschein und klagte; Joringel klagte auch.
Sie waren so bestürzt, als wenn sie hätten sterben sollen; sie sahen sich um, waren irre und wußten nicht, wohin sie nach Hause gehen sollten.
Noch halb stand die Sonne über dem Berg, und halb war sie unter.
Joringel sah durchs Gebüsch und sah die alte Mauer des Schlosses nah bei sich; er erschrak und wurde todbang.
Jorinde sang:
»Mein Vöglein mit dem Ringlein rot
singt Leide, Leide, Leide;
es singt dem Täubelein seinen Tod,
singt Leide, Lei - zicküth, zicküth, zicküth.«

Jorinde pleurait parfois, s'asseyait au soleil et se lamentait ; Joringel aussi se lamentait.
Ils étaient aussi bouleversés que s'ils avaient dû mourir ; ils regardaient autour d'eux, ils étaient égarés et ne savaient pas où aller chez eux.
Le soleil était encore à moitié au-dessus de la montagne, et à moitié au-dessous.
Joringel regarda à travers les buissons et vit le vieux mur du château tout près de lui ; il fut effrayé et mourut de peur.
Jorinde chanta :
"Mon petit oiseau à la bague rouge
chante souffrance, souffrance, souffrance ;
Il chante la mort du petit pigeon,
chante souffrance, Leide - zicküth, zicküth, zicküth".

Vokabular
zuweilen = de vez en cuando
bestürzt = espantado
das Gebüsch = la maleza





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