Seite 15: Märchen von einem, der auszog das Fürchten zu lernen (Juan Sinmiedo) |
Die zweite
Nacht ging er abermals hinauf ins alte Schloß,
setzte sich zum Feuer und fing sein altes
Lied wieder an:"Wenn mir's nur gruselte
!" |
La deuxième nuit, il monta de nouveau au vieux château, s'assit près du feu et recommença sa vieille chanson : "Si seulement j'avais peur ! Comme minuit approchait, un bruit et un fracas se firent entendre ; d'abord doucement, puis de plus en plus fort, puis il y eut un peu de silence ; enfin, un demi-homme descendit de la cheminée en poussant de grands cris et tomba devant lui. "Héda !" s'écria-t-il, "il faut encore une moitié, c'est trop peu". Le bruit se fit alors plus frais, il se déchaîna et hurla, et l'autre moitié tomba aussi. "Attends," dit-il, "je vais d'abord souffler un peu sur le feu". Quand il eut fini et qu'il eut regardé de nouveau autour de lui, les deux morceaux étaient tombés ensemble, et un homme horrible était assis à sa place. "Ce n'est pas ce que nous avons parié," dit le garçon, "le banc est à moi". L'homme voulut le repousser, mais il ne se laissa pas faire, le repoussa de force et revint s'asseoir à sa place. D'autres hommes tombèrent l'un après l'autre, ils prirent neuf pattes de mort et deux têtes de mort, s'assirent et jouèrent aux quilles. |
Vokabular | |
das Gepolter = el estrépito | |
sacht = suavemente | |
der Schornstein = la chimenea | |
die Bank = el banco | |
wegdrängen = empujar a un lado | |
der Totenkopf = la calavera |
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