Aber er
mochte sein Gedächtnis anstrengen,
wie er wollte, weiter konnte er sich keines
Verses mehr entsinnen. Er dachte oft, ob
er nicht diesen oder jenen alten Mann fragen
sollte, wie das Sprüchlein heiße;
aber immer hielt ihn eine gewisse Scheu,
seine Gedanken zu verraten, ab, auch schloß
er, es müsse die Sage vom Glasmännlein
nicht sehr bekannt sein und den Spruch müssen
nur wenige wissen; denn es gab nicht viele
reiche Leute im Wald, und - warum hatten
denn nicht sein Vater und die andern armen
Leute ihr Glück versucht?
Er brachte endlich einmal seine Mutter auf
das Männlein zu sprechen, und diese
erzählte ihm, was er schon wußte,
kannte auch nur noch die erste Zeile von
dem Spruch und sagte ihm endlich, nur Leuten,
die an einem Sonntag zwischen elf und zwei
Uhr geboren seien, zeige sich das Geistchen.
Er selbst würde wohl dazu passen, wenn
er nur das Sprüchlein wüßte;
denn er sei Sonntags mittags zwölf
Uhr geboren. |
Mais il avait beau faire appel à sa mémoire, il ne se souvenait plus d'aucun vers. Il se demanda souvent s'il ne devait pas demander à tel ou tel vieillard le nom du proverbe, mais il était toujours retenu par une certaine crainte de révéler ses pensées, et il en conclut que la légende du petit homme de verre ne devait pas être très connue et que peu de gens devaient savoir le proverbe, car il n'y avait pas beaucoup de riches dans la forêt, et - pourquoi son père et les autres pauvres gens n'avaient-ils pas tenté leur chance ?
Il finit par parler du petit bonhomme à sa mère, qui lui raconta ce qu'il savait déjà, ne connaissait que la première ligne du proverbe et lui dit enfin que le petit fantôme ne se montrait qu'aux gens nés un dimanche entre onze et deux heures. Lui-même en ferait bien partie s'il connaissait seulement le proverbe, car il était né le dimanche à midi. |