»Sonst
nichts?«, fragte der Kleine mit besorglicher
Miene. »Peter, sonst nichts?»
»Nun - Ihr könnet noch ein Pferd
dazutun und ein Wägelchen ...«
»Oh, du dummer Kohlenmunk-Peter!«,
rief der Kleine und warf seine gläserne
Pfeife im Unmut an eine dicke Tanne, daß
sie in hundert Stücke sprang. »Pferde?
Wägelchen? Verstand, sag' ich dir,
Verstand, gesunden Menschenverstand und
Einsicht hättest du wünschen sollen,
aber nicht Pferdchen und Wägelchen.
Nun, werde nur nicht so traurig, wir wollen
sehen, daß es auch so nicht zu deinem
Schaden ist; denn der zweite Wunsch war
im ganzen nicht töricht. Eine gute
Glashütte nährt auch ihren Mann
und Meister; nur hättest du Einsicht
und Verstand dazu mitnehmen können,
Wagen und Pferde wären dann wohl von
selbst gekommen.«
»Aber, Herr Schatzhauser«, erwiderte
Peter, »ich habe ja noch einen Wunsch
übrig; da könnte ich ja Verstand
wünschen, wenn er mir so nötig
ist, wie Ihr meinet.«
|
"Rien d'autre ?", demanda le petit d'un air inquiet. "Peter, rien d'autre ?"
"Eh bien, vous pouvez ajouter un cheval et un chariot...".
"Oh, stupide Pierre le charbonnier !" s'écria le petit en lançant sa pipe de verre contre un gros sapin, qui sauta en cent morceaux. "Des chevaux ? Des chariots ? De l'esprit, je te le dis, de l'esprit, du bon sens et du discernement, voilà ce que tu aurais dû souhaiter, mais pas de petits chevaux et de petites voitures. Eh bien, ne sois pas si triste, nous verrons bien que ce n'est pas à ton détriment ; car le second souhait n'était pas insensé dans l'ensemble. Une bonne verrerie nourrit aussi son homme et son maître ; seulement, tu aurais pu y apporter du discernement et de l'intelligence, les chariots et les chevaux seraient alors venus tout seuls".
"Mais, monsieur Schatzhauser," répondit Pierre, "il me reste encore un souhait ; je pourrais bien demander de l'intelligence, si elle m'est aussi nécessaire que vous le pensez". |