Abends
kamen sie in ein altes, verlassenes Schloß,
stiegen hinauf und legten sich in den Saal
schlafen. Am andern Morgen ging Hans hinab
in den Garten, der war ganz verwildert
und stand voll Dörner und Gebüsch.
Und wie er so herumging, sprang ein Wildschwein
auf ihn los; er gab ihm aber mit seinem
Stab einen Schlag, daß es gleich
niederfiel. Dann nahm er es auf die Schulter
und brachte es hinauf; da steckten sie
es an einen Spieß, machten sich einen
Braten zurecht und waren guter Dinge. Nun
verabredeten sie, daß jeden Tag,
der Reihe nach, zwei auf die Jagd gehen
sollten und einer daheim bleiben und kochen,
für jeden neun Pfund Fleisch.
Den ersten Tag blieb der Tannendreher daheim,
und Hans und der Felsenklipperer gingen
auf die Jagd. Als der Tannendreher beim
Kochen beschäftigt war, kam ein kleines,
altes, zusammengeschrumpeltes Männchen
zu ihm auf das Schloß und forderte
Fleisch. |
Le soir, ils arrivèrent dans un vieux château abandonné, y montèrent et se couchèrent dans la salle. Le lendemain matin, Hans descendit dans le jardin, qui était tout en désordre et plein de buissons et de plantes. Comme il se promenait ainsi, un sanglier lui sauta dessus, mais il lui donna un coup de bâton qui le fit tomber aussitôt. Il le prit sur son épaule et l'amena en haut, où ils le mirent au bout d'une pique, préparèrent un rôti et se réjouirent. Ils se mirent d'accord pour que chaque jour, à tour de rôle, deux d'entre eux aillent à la chasse et qu'un autre reste à la maison pour cuisiner, neuf livres de viande chacun.
Le premier jour, le tourneur de sapins resta à la maison, tandis que Hans et le coupeur de rochers allèrent à la chasse. Alors que le tourneur de sapins était occupé à faire la cuisine, un petit homme vieux et ratatiné vint le trouver au château et lui demanda de la viande. |