Wie sollte
er nur loskommen! Er sah voraus, dass er
bis zum Morgen hier stehen könne. Dann
musste man erst nach einem Schmied senden,
damit die Eisenstangen durchgefeilt werden
könnten. Aber das ging auch nicht so
geschwind. Die ganze Knabenschule gerade
gegenüber würde auf die Beine
kommen; alle Krankenhausinsassen würden
zusammen laufen, um ihn am Pranger zu sehen.
Er würde eine ganz andere Attraktion
abgeben, als die Riesenagave im vorigen
Jahr. "Ach je, das Blut steigt mir
zu Kopfe rein zum irrsinnig werden! Ja,
ich werde verrückt! Ach wäre ich
doch erst wieder heraus, dann ginge es wohl
vorüber!"
Seht, hätte er das ein wenig früher
gesagt! Augenblicklich, der Gedanke war
kaum ausgesprochen, so war sein Kopf auch
schon frei, und er stürzte nun hinein,
ganz verstört über den Schreck,
den ihm die Galoschen des Glückes gebracht
hatten. Nun brauchen wir nicht etwa zu glauben,
dass das Ganze hiermit vorüber sei,
nein, es kommt noch schlimmer. Die Nacht
und der folgende Tag vergingen, und die
Galoschen wurden nicht abgeholt.
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Comment pourrait-il s'en aller ? Il prévoyait qu'il pourrait rester ici jusqu'au matin. Il faudrait alors envoyer chercher un forgeron pour limer les barres de fer. Mais ce n'était pas si rapide. Toute l'école de garçons, juste en face, se mettrait sur pied ; tous les pensionnaires de l'hôpital accourraient pour le voir au pilori.
Il ferait une toute autre attraction que l'agave géant de l'année précédente. "Oh là là, le sang me monte à la tête à en devenir fou ! Oui, je deviens fou ! Si seulement je pouvais en sortir, ça passerait".
Regardez, s'il avait dit cela un peu plus tôt ! A peine la pensée était-elle exprimée que sa tête était déjà libre et qu'il se précipitait à l'intérieur, tout bouleversé par la frayeur que lui avaient causée les galoches de la fortune. Il ne faut pas croire que tout cela est terminé, non, il y a pire encore. La nuit et le jour suivant passèrent sans que les galoches ne soient réclamées. |