Nun geschah
es, als sie im Heumonat eines Tags einen
weiten Weg gegangen waren, auch noch ein
gut Stück bis in das Dorf hatten, wo
sie über Nacht bleiben mußten,
daß in der Dämmerung auf einer
Wiese ein großer Roßkäfer
oder eine Hornisse nicht weit von ihnen
hinter einer Staude vorbeiflog und feindlich
brummelte. Der Herr Schulz erschrak, daß
er fast den Spieß hätte fallen
lassen und ihm der Angstschweiß am
ganzen Leibe ausbrach. "Horcht, horcht",
rief er seinen Gesellen, "Gott, ich
höre eine Trommel!" Der Jackli,
der hinter ihm den Spieß hielt, und
dem ich weiß nicht was für ein
Geruch in die Nase kam, sprach:"Etwas
ist ohne Zweifel vorhanden, denn ich schmeck
das Pulver und den Zündstrick." |
Or, il arriva qu'un jour, pendant le mois des foins, alors qu'ils avaient parcouru un long chemin et qu'ils avaient encore une bonne distance à parcourir jusqu'au village où ils devaient passer la nuit, au crépuscule, dans un pré, un gros scarabée ou un frelon passa non loin d'eux, derrière un arbuste, en bourdonnant d'un air hostile. Monsieur Schulz fut effrayé, il faillit laisser tomber sa pique et une sueur d'angoisse lui sortit de tout le corps. "Écoutez, écoutez", cria-t-il à ses compagnons, "Dieu, j'entends un tambour !" Le Jackli, qui tenait la broche derrière lui, et dont les narines étaient remplies de je ne sais quelle odeur, dit : "Il y a sans doute quelque chose, car je sens le goût de la poudre et de la mèche". |