Seite 5: Die Stopfnadel (La aguja de zurcir)



Prahlerei war es, und Prahlerei blieb es! Und deshalb ging ich in die Gosse." "Nun sitzen wir hier und glänzen!", sagte der Glasscherben. Gleichzeitig kam mehr Wasser in den Rinnstein, es strömte über die Grenzen und riß den Glasscherben mit sich fort.
"Sieh, nun wurde der befördert!", sagte die Stopfnadel. Ich bleibe sitzen, ich bin zu fein, aber das ist mein Stolz, und der ist achtungswert!"
So saß sie stolz da und hatte viele Gedanken.
"Ich möchte fast glauben, daß ich von einem Sonnenstrahl geboren bin, so fein bin ich! Kommt es mir doch auch vor, als ob die Sonne mich immer unter dem Wasser aufsuche. Ach, ich bin so fein, daß meine Mutter mich nicht auffinden kann. Hätte ich mein altes Auge, das leider abbrach, so glaube ich, ich könnte weinen; - aber ich würde es nicht tun - es ist nicht fein, zu weinen!" Eines Tages kamen einige Straßenjungen und wühlten im Rinnstein, wo sie alte Nägel, Pfennige und dergleichen fanden. Das war kein schönes Geschäft, und doch machte es ihnen Vergnügen. "Au!", sagte der eine, er stach sich an der Stopfnadel. "Das ist auch ein Kerl!"

C'était de la vantardise, et c'est resté de la vantardise ! Et c'est pourquoi je suis allé dans le caniveau". "Maintenant, nous sommes assis ici et nous brillons !", dit le morceau de verre. Au même moment, l'eau arriva en plus grand nombre dans le caniveau, elle déborda des limites et emporta le morceau de verre avec elle.
"Regarde, il a été promu !", dit l'aiguille de bourrage. Je reste assise, je suis trop fine, mais c'est ma fierté, et elle est respectable !"
Elle s'assit donc fièrement et eut de nombreuses pensées.
"J'aimerais presque croire que je suis née d'un rayon de soleil, tant je suis fine ! Il me semble aussi que le soleil me cherche toujours sous l'eau. Ah ! je suis si fine que ma mère ne peut pas me trouver. Si j'avais mon vieil œil, qui s'est malheureusement cassé, je crois que je pourrais pleurer ; - mais je ne le ferais pas - ce n'est pas bien de pleurer !" Un jour, des garçons de la rue vinrent fouiller dans le caniveau, où ils trouvèrent de vieux clous, des sous et d'autres choses de ce genre. Ce n'était pas un beau métier, et pourtant cela les amusait. "Aïe !", dit l'un d'eux en se piquant à l'aiguille à repriser. "Ça aussi, c'est un gars !"

Vokabular
der Strassenjunge = el pilluelo
wühlen = excavar
der Nagel = el clavo
Vergnügen machen = divertirse






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