Seite 14: Kalif Storch (El Califa Cigüeña)

Die Eule schwieg einen Augenblick und sprach dann:»Nehmet es nicht ungütig, aber nur unter einer Bedingung kann ich Euern Wunsch erfüllen.«
»Sprich aus! Sprich aus!«, schrie Chasid. »Befiehl, es ist mir jede recht.«
»Nämlich, ich möchte auch gern zugleich frei sein; dies kann aber nur geschehen, wenn einer von euch beiden mir seine Hand reicht.«
Die Störche schienen über den Antrag etwas betroffen zu sein, und der Kalif winkte seinem Diener, ein wenig mit ihm hinauszugehen.
»Großwesir«, sprach vor der Türe der Kalif, »das ist ein dummer Handel; aber Ihr könntet sie schon nehmen.«
»So«, antwortete dieser, »daß mir meine Frau, wenn ich nach Hause komme, die Augen auskratzt? Auch bin ich ein alter Mann, und Ihr seid noch jung und unverheiratet und könnet eher einer jungen, schönen Prinzessin die Hand geben.«

Le hibou garda le silence un moment, puis dit : "Ne le prenez pas mal, mais il y a une condition à ce que je réalise votre souhait".
"Exprime-toi ! Parle !", cria Chasid. "Ordonne, tout me convient".
"Je voudrais être libre en même temps, mais cela ne peut se faire que si l'un de vous deux me tend la main".
Les cigognes parurent quelque peu affectées par cette proposition, et le calife fit signe à son serviteur de sortir un peu avec lui.
"Grand vizir", dit le calife devant la porte, "c'est un marché stupide ; mais vous pourriez déjà les prendre".
"Ainsi", répondit celui-ci, "que ma femme m'arrache les yeux quand je rentre à la maison ? De plus, je suis un vieil homme, et vous êtes encore jeune et célibataire, et vous pourriez plutôt donner la main à une jeune et belle princesse".

Vokabular
schweigen = guardar silencio
die Bedingung = la condición
den Wunsch erfüllen = cumplir el deseo
der Antrag = la propuesta de matrimonio
betroffen sein = estar perplejo
der Handel = el pacto
unverheiratet = soltero





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